Fathi Akkari : Moufida me rappelle ma mère
Fathi Akkari, noté ce vendredi 9 juin 2017 lors de son passage dans Romdhane Show qu’il a combattu la bassesse avec de l’intelligence.
« Je ne connais pas le regret. J’ai travaillé avec Aida Boubaker dans les Fawazir. J’ai essayé d’embellir les rôles que j’ai joués. L’acteur est une nécessité pour le citoyen. Les acteurs et les metteurs en scène du théâtre proposent souvent des projets adaptés à la télé. J’ai essayé de m’inspirer de Marlon Brando dans le film Le Parrain pour mon rôle dans Awled Moufida. Mais par la suite, j’ai trouvé qu’il n’y a pas une possibilité de faire la comparaison. Certains, ne font pas la différence entre la réalité et la fiction. La violence et l’image de la femme dans Awled Moufida n’est pas anodine car la violence qui existe dans la réalité est plus épouvantable. Moufida me rappelle ma mère quand j’étais petit », a noté l’acteur
Fathi Akkari, s’est indigné du fait que certains critiquent les idées après un long combat contre la censure. « Celui qui vient avec des arrières pensées politiques ne peut pas critiquer les œuvres. Il y a une sorte de schizophrénie qu’il faut guérir chez plusieurs critiques. Il n’y a pas que la religion et les spiritualités dans la vie et n’ouvrez pas la porte aux jugements à la manière d’Adel Almi», a-t-il assuré.